Selon Ericssonle streaming vidéo représente 78 % de la consommation de données des smartphones. Et il ne s'agit que des vidéos diffusées à partir des téléphones.

Si l'on ajoute à cela le visionnage à partir de téléviseurs connectés, de consoles de jeux, d'ordinateurs, de tablettes et de casques VR, on constate que les vidéos sont consommées de partout et de plus en plus souvent. La triste réalité est que l'augmentation de la consommation de vidéos s'accompagne d'une augmentation du piratage.

Comment les CDN soutiennent sans le savoir les flux illégaux

L'équipe de sécurité de Verimatrix a appris qu'environ 30 % de ce que les entreprises dépensent pour les réseaux de diffusion de contenu (CDN). réseaux de diffusion de contenu (CDN) sert en fait à diffuser des contenus piratés au lieu de flux légitimes. Pour certaines entreprises, jusqu'à 70 % de leurs coûts CDN proviennent du piratage ! C'est comme payer la facture d'un pickpocket personnel ; c'est à la fois choquant et injuste.

Alors, que se passe-t-il ? La façon dont nous regardons les vidéos a beaucoup changé. Nous ne nous contentons plus d'être devant l'écran de télévision. Nous organisons des soirées de visionnage sur nos téléphones, nous utilisons des tablettes pour garder nos enfants avec des vidéos YouTube et nous accédons à nos téléviseurs intelligents pour vivre les jeux à 5 anneaux à Paris. 

La variété n'a jamais été aussi bonne pour les téléspectateurs, mais elle a aussi donné aux pirates davantage de moyens de voler des contenus, des informations sur les abonnés ou des recettes publicitaires.

Il faut unir les efforts pour lutter contre la piraterie

L'un des plus grands défis de la lutte contre le piratage est que tout le monde semble se renvoyer la balle. Personne ne veut assumer l'entière responsabilité, et le piratage prospère. 

En réalité, pour résoudre le problème du piratage, il faut un "village". Les créateurs de contenu, les plateformes de diffusion en continu, les distributeurs de contenu et bien d'autres utilisent d'anciennes technologies combinées à de nouvelles solutions audacieuses pour remédier à ce problème.

C'est là que Verimatrix intervient avec sa suite Streamkeeper. Il s'agit d'un ensemble d'outils basés sur le site cloud et conçus pour protéger le contenu vidéo en continu à l'aide de contre-mesures défensives et offensives. Verimatrix Streamkeeper se compose de trois éléments principaux :

  • Multi-DRM: Pour empêcher les utilisateurs non autorisés d'entrer.
  • Counterspy: Pour protéger les applications sur les smartphones, les téléviseurs intelligents et les décodeurs.
  • Watermarking: Pour aider à trouver l'origine des fuites.

Une stratégie en quatre étapes pour lutter contre le piratage à l'échelle industrielle

Pour s'attaquer réellement à la piraterie industrielle d'aujourd'hui, Verimatrix propose une approche en quatre étapes :

  1. Veillez à ce que seules les applications légitimes puissent accéder à votre contenu de grande valeur.
  2. Surveillez de près ce qui se passe avec vos applications multimédias.
  3. Agissez rapidement lorsque vous voyez des signes de problèmes.
  4. Utiliser les outils les plus récents pour identifier et arrêter les malfaiteurs.

Aujourd'hui, les méthodes les plus efficaces de anti-piracy consistent à construire un bouclier solide capable de résister à toutes les attaques des pirates, aujourd'hui et à l'avenir.

Le piratage vidéo ne disparaîtra pas de lui-même. Mais si nous travaillons ensemble et utilisons des solutions telles que Streamkeeper, nous pouvons faire en sorte que le streaming reste une solution gagnante pour tout le monde, à l'exception des escrocs.